THE POVERTY OF THEORY

There is not a dearth of so-called theory that purports to explain the lot of the Third World in the global system. At least three theoretical schools can be identified( i.e. neo-classical, behaviouralist, and dependencia), and it is mandatory to see what each has to say about the topic that interests this explanation. 

1- THE NEO-CLASSICAL SCHOOL 

The neo-classical school which includes authorities like Raymond Aron in France, Hans Morgenthau in the United States, or Martin Wright and Hedley Bull in Britain, has continued the Machiavellian tradition and tended to follow in its dealing with the Third World the approach I qualified elsewhere as the "smal-state-as-pawn" approach. 

2- THE BEHAVIOURALIST SCHOOL 

But just around this period-as so many International Relations specialists affirm-the analysis of international phenomena was ready to take off and start its own "scientific revolution" represented by behaviouralism. Behaviouralism purported to integrate the analysis of International Relations into the social or behavioural sciences(e.g. economics, psychology, sociology) and to benefit from their advances in conceptualization, techniques of analysis and data-collection. 

3- THE DEPNDENCIA SCHOOL 

The talk about "all states being sovereign" notwithstanding, it remained to focus on the issue of inequality. This task was taken on by the approach emanating from the Third World and labelled-revealingly-dependencia. PEACE.

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LA PAUVRETÉ DE LA THÉORIE

Les soi-disant théories prétendant expliquer le sort du tiers monde dans le système mondial ne manquent pas. Au moins trois écoles théoriques peuvent être identifiées (c'est-à-dire néoclassique, comportementaliste et dépendance), et il est obligatoire de voir ce que chacune a à dire sur le sujet qui intéresse cette explication. 

1- L'ÉCOLE NÉO-CLASSIQUE 

L'école néoclassique, qui comprend des autorités comme Raymond Aron en France, Hans Morgenthau aux États-Unis ou Martin Wright et Hedley Bull en Grande-Bretagne, a perpétué la tradition machiavélique et a eu tendance à suivre dans sa gestion du tiers monde l'approche que j'ai qualifiée de ailleurs, comme l'approche du « petit État comme pion ». 

2- L'ÉCOLE COMPORTEMENTALISTE 

Mais c'est justement à cette époque, comme l'affirment de nombreux spécialistes des relations internationales, que l'analyse des phénomènes internationaux était prête à décoller et à entamer sa propre « révolution scientifique » représentée par le behaviorisme. Le behavioralisme prétendait intégrer l'analyse des relations internationales dans les sciences sociales ou comportementales (par exemple l'économie, la psychologie, la sociologie) et bénéficier de leurs avancées en matière de conceptualisation, de techniques d'analyse et de collecte de données. 

3- L'ÉCOLE DE LA DÉPNENDIE 

Malgré le discours selon lequel « tous les États sont souverains », il restait à se concentrer sur la question des inégalités. Cette tâche a été assumée par l’approche émanant du tiers-monde et qualifiée de révélatrice de dépendance. PAIX.