Thursday, August 14, 2025

FLIGHT SIMULATOR: An excerpt from an AI novel generator

Arthur’s life was a carefully folded paper airplane. Neat, predictable, made of the same off-white copier paper as everyone else’s. His days were a monotonous descent: wake, commute, desk, commute, dinner, sleep. His cubicle, 3B, was a windowless box, and the only views he ever encountered were the flickering screens of spreadsheets.

But three nights a week, in the small spare room of his modest apartment, Arthur wasn't Arthur of Cubicle 3B. He was Captain Clarke.

The transformation began the moment he slid into the worn gaming chair, a vintage cockpit seat he’d painstakingly restored. Around him, a symphony of screens glowed: three curved monitors forming a panoramic windshield, a fourth above displaying an intricate array of flight instruments, and a fifth showing real-time air traffic control chatter. His hands found the cool, heavy grip of the force-feedback yoke, his feet settling naturally on the rudder pedals. Beneath the desk, the low hum of the custom-built PC was the gentle thrum of powerful engines.

The world outside his window faded. The scent of stale air and old carpet vanished, replaced by the ghost of jet fuel and ozone.

Tonight, he was flying a Cessna 172 Skyhawk. Not a massive, roaring beast, but an intimate, responsive bird. He’d carefully planned his route: a VFR flight from a small airstrip in the Canadian Rockies. The sun dipped below jagged digital peaks, painting the clouds in hues of fiery orange and bruised purple.

"Cessna Seven-Two Victor, clear for takeoff, Runway Two-Seven." The synthesized voice crackled, eerily realistic.

Arthur nudged the throttle forward. The digital propeller spun into a blur, the engine sound deepening to a satisfying roar. He felt the subtle vibration through the yoke, the simulated acceleration pushing him back into the seat. At rotation speed, he gently pulled back. The nose lifted, the wing caught the air, and for a glorious, weightless moment, he was airborne.

Below, the pines became green fuzz, the winding rivers thin silver ribbons. He banked gently, following the contours of a virtual valley, the setting sun glinting off the aircraft’s wing. His eyes scanned the primary flight display, ensuring his altitude, speed, and heading were perfect. It wasn't just about escaping; it was about precision, about mastery. In the simulator, every decision mattered, every input had a consequence. Unlike spreadsheets, where a misplaced comma merely meant a recalculation, here, a misjudgment could send him plummeting into a pixelated mountainside.

He’d flown across oceans in an Airbus A320, navigated treacherous storms in a 747, even landed a quirky, vintage biplane on a remote grass strip in Patagonia. He’d battled crosswinds that threatened to rip his wings off, wrestled with engine failures over simulated deserts, and executed perfect instrument landings through dense fog, guided only by the glowing needles and numbers.

Each flight was a story, a miniature adventure. An escape not just from his apartment, but from the mundane limitations of gravity and the smallness of his real life. In the cockpit, he wasn't defined by his cubicle or his quiet demeanor. He was the pilot. He was the one in control.

Hours melted away. The virtual night deepened, the stars appearing as pinpricks of light in the black expanse above. He tuned his radio to the local VOR, the steady beeps a comforting guide. Soon, the twinkling grid of a city appeared on the horizon – his destination.

He began his descent, following the approach plate he'd memorized. Lowering flaps, reducing power, adjusting trim. The intricate ballet of controls became second nature, an extension of his will. The runway lights glowed brighter, drawing him in. The wind, a digital whisper, buffeted the plane gently. He made final adjustments, his breath held.

Thump-thump. The satisfying kiss of tires on tarmac. A perfect landing. The reverse thrust roared, the brakes hummed, and the aircraft rolled smoothly down the runway.

He taxied to a waiting gate, the engines winding down to a gentle sigh. The cockpit lights glowed softly, reflecting in the glass. He leaned back, a profound sense of calm washing over him. The world outside, the one with spreadsheets and commutes, still existed. But for a few hours, he'd transcended it.

He carefully disengaged the simulator, the screens flickering back to desktop backgrounds. The gear was still, the room quiet once more. Arthur stood up, stretching. The stiffness in his shoulders was real, but the lightness in his spirit was even more so.

As he walked to his bedroom, the floor felt solid beneath his feet, the walls reassuringly close. But in his mind, he was still soaring, the vast, boundless sky a tangible memory on his fingertips, a secret landscape only he knew. And he knew, without a doubt, that he would fly again. Soon.


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AI Story Generator

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SIMULATEUR DE VOL : Un extrait d'un générateur de romans d'IA


La vie d'Arthur était un avion en papier soigneusement plié. Propre, prévisible, faite du même papier photocopieur blanc cassé que celui de tout le monde. Ses journées étaient une descente monotone : réveil, trajet, bureau, trajet, dîner, sommeil. Son box, le 3B, était une boîte sans fenêtre, et les seules vues qu'il rencontrait étaient les écrans clignotants des feuilles de calcul.

Mais trois soirs par semaine, dans la petite chambre d'amis de son modeste appartement, Arthur n'était pas l'Arthur du Box 3B. Il était le capitaine Clarke.

La transformation commença dès qu'il se glissa dans le fauteuil de jeu usé, un siège de cockpit vintage qu'il avait minutieusement restauré. Autour de lui, une symphonie d'écrans brillait : trois moniteurs incurvés formant un pare-brise panoramique, un quatrième au-dessus affichant un ensemble complexe d'instruments de vol, et un cinquième diffusant en temps réel les conversations du contrôle aérien. Ses mains trouvèrent la prise froide et lourde du manche à retour de force, ses pieds se posèrent naturellement sur les pédales du palonnier. Sous le bureau, le faible bourdonnement du PC fabriqué sur mesure était le doux bourdonnement de moteurs puissants.

Le monde extérieur s'estompa. L'odeur d'air vicié et de vieille moquette disparut, remplacée par le fantôme du kérosène et de l'ozone.

Ce soir-là, il pilotait un Cessna 172 Skyhawk. Pas un monstre massif et rugissant, mais un oiseau intime et réactif. Il avait soigneusement planifié son itinéraire : un vol VFR depuis une petite piste d'atterrissage des Rocheuses canadiennes. Le soleil plongeait sous des pics numériques déchiquetés, peignant les nuages de teintes orange vif et violet meurtri.

« Cessna Seven-Two Victor, autorisation de décollage, piste deux-sept. » La voix synthétisée crépita, étrangement réaliste.

Arthur poussa la manette des gaz. L'hélice numérique tourna dans un flou, le bruit du moteur s'amplifia jusqu'à devenir un rugissement satisfaisant. Il sentit la vibration subtile à travers le manche, l'accélération simulée le poussant contre son siège. À vitesse de rotation, il recula doucement. Le nez s'est soulevé, l'aile a pris l'air et, pendant un moment glorieux et sans poids, il était en l'air.

En contrebas, les pins se transformaient en duvet vert, les rivières sinueuses en minces rubans argentés. Il virait doucement, suivant les contours d'une vallée virtuelle, le soleil couchant se reflétant sur l'aile de l'avion. Ses yeux scrutaient l'écran de vol principal, s'assurant que son altitude, sa vitesse et son cap étaient parfaits. Il ne s'agissait pas seulement de s'échapper, mais de précision, de maîtrise. Dans le simulateur, chaque décision comptait, chaque action avait une conséquence. Contrairement aux tableurs, où une virgule mal placée signifiait simplement un nouveau calcul, ici, une erreur de jugement pouvait le faire s'écraser sur une montagne pixelisée.

Il avait traversé des océans à bord d'un Airbus A320, navigué dans des tempêtes dangereuses à bord d'un 747, et même posé un biplan vintage original sur une piste herbeuse isolée en Patagonie. Il avait affronté des vents latéraux qui menaçaient de lui arracher les ailes, lutté contre des pannes de moteur au-dessus de déserts simulés et réalisé des atterrissages aux instruments parfaits dans un épais brouillard, guidé uniquement par les aiguilles et les chiffres lumineux.

Chaque vol était une histoire, une aventure miniature. Une évasion non seulement de son appartement, mais aussi des limitations banales de la gravité et de l'exiguïté de sa vie réelle. Dans le cockpit, il n'était pas défini par son box ou son attitude calme. Il était le pilote. C'était lui qui contrôlait la situation.

Les heures s'écoulèrent. La nuit virtuelle s'épaissit, les étoiles apparaissant comme des points lumineux dans l'étendue noire au-dessus. Il régla sa radio sur le VOR local, les bips réguliers lui servant de guide réconfortant. Bientôt, le quadrillage scintillant d'une ville apparut à l'horizon – sa destination.

Il commença sa descente, suivant la carte d'approche mémorisée. Abaissement des volets, réduction de la puissance, ajustement des trims. Le ballet complexe des commandes devint une seconde nature, une extension de sa volonté. Les lumières de la piste brillèrent plus intensément, l'attirant. Le vent, un murmure numérique, secouait doucement l'avion. Il effectua les derniers réglages, le souffle coupé.

Boum-boum. Le frottement satisfaisant des pneus sur le tarmac. Un atterrissage parfait. L'inversion de poussée rugit, les freins ronronnèrent, et l'avion descendit doucement la piste.

Il roula jusqu'à une porte d'embarquement, les moteurs ralentissant doucement dans un léger soupir. Les lumières du cockpit brillèrent doucement, se reflétant dans les vitres. Il se laissa aller en arrière, envahi par un profond sentiment de calme. Le monde extérieur, celui des feuilles de calcul et des trajets domicile-travail, existait toujours. Mais pendant quelques heures, il l'avait transcendé.

Il désactiva prudemment le simulateur, les écrans revenant à l'arrière-plan du bureau. Le matériel était immobile, la pièce redevenue silencieuse. Arthur se leva et s'étira. La raideur de ses épaules était réelle, mais la légèreté de son esprit l'était encore plus.

Alors qu'il se dirigeait vers sa chambre, le sol lui semblait solide sous les pieds, les murs d'une proximité rassurante. Mais dans son esprit, il planait toujours, le ciel immense et sans limites, un souvenir tangible au bout de ses doigts, un paysage secret que lui seul connaissait. Et il savait, sans l'ombre d'un doute, qu'il volerait à nouveau. Bientôt.


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